Exemples d'utilisation de Ces dettes en Français et leurs traductions en Espagnol
{-}
-
Colloquial
-
Official
-
Official
-
Medicine
-
Financial
-
Computer
-
Ecclesiastic
-
Ecclesiastic
-
Official/political
-
Programming
-
Political
Toutes ces dettes, c'est vraiment trop.
Comment feras-tu pour payer toutes ces dettes,?
Ne me dites pas que vous cachez ces dettes non seulement à vous, mais à votre mari.
Il faut que je te laisse seule avec toutes ces dettes?
La majeure partie de ces dettes est due à des institutions financières multilatérales.
Combinations with other parts of speech
Utilisation avec des adjectifs
dette grecque
total de la dettedette bilatérale
la dette douanière
de la dette grecque
dette externe
une dette douanière
dette totale
de la dette bilatérale
dette technique
Plus
Aucune compagnie ne reconnaît ces dettes-là.
Avec toutes ces dettes et sans revenus, c'est impossible que l'on rembourse notre prêt.
Il y a lieu d'envisager des dispositions relatives àl'annulation et/ou à la suspension de ces dettes.
Si ces dettes augmentent de 10% par an, ils doivent mettre en réserve 160 milliards de dollars supplémentaires.
Le FESF va également à l'encontre de principes démocratiques,ce qui rend ces dettes illégitimes et odieuses.
Ces dettes sont garanties par nos actions, et si on ne paie pas â temps, on pourrait perdre beaucoup d'argent.
Après 12 mois vous pouvez aller de nouveau à la cour et demander que vous ne serezplus responsable payant ces dettes.
Ces dettes sont totalement illégitimes et doivent être annulées tout comme celles qui découlent du plan d'aide!
S'ils font faillite, le secteur de l'assurance,probablement grand détenteur de ces dettes, entrera rapidement dans une spirale de faillite.
Une grande partie de ces dettes publiques est en outre contractée pour des projets qui bénéficient largement au grand Capital et en moindre mesure à la population.
En juin-juillet 2008, ce marché s'est effondré etles banques qui avaient commercialisé ces dettes ont dû les racheter à leurs clients et payer des amendes à l'Etat.
Effacer ces dettes revient tout simplement à reconnaître le fait économique qu'il s'agit de fonds que le créancier ne peut pas récupérer.
De plus, à moyen terme, cette pratique laxiste aura uneffet inflationniste qui dévalorisa ces dettes publiques et réduira, en termes réels, la charge de celles-ci.
Le 22,9% de ces dettes serait payé par l'Inter seul, qui a terminé l'année au 30 Juin 2009 avec l'endettement brut total de 431 550 000 EUR augmentation par rapport à 395 millions l'année précédente.
Étant donné que la clause de non-renflouement dispose que les États membres ne peuvent reprendre les dettes des autres, ils ne devraient pas non plus êtreautorisés à tirer profit de ces dettes.
Si ces deux critères se trouvent ainsi satisfaits,alors ces dettes contractées par un gouvernement antérieur sont odieuses, le nouveau régime et sa population ne sont pas tenus de les rembourser.
Les Etats européens, par une action strictement coordonnée au niveau européen- et même au niveau mondial- ont décidé de nationaliser les dettes privées en les transformant en dette souveraine et d'imposer des politiques d'austéritéet de transferts afin de payer ces dettes.
Ces dettes sont souvent dues à des déficits du passé qui n'ont apporté aucun avantage tangible à la population, à cause d'un excès de bureaucratie, de projets inadéquats ou de corruption.
Si elles se révèlent odieuses ou illégales, ces dettes seront alors déclarées nulles et notre pays pourra refuser de les rembourser, tout en demandant des comptes en justice à ceux qui les ont contractées.».
Pour ces dettes qui ont seulement un livre de bon sans des rapports régulièrement produits montrant la balance courante, vous devrez probablement entrer en contact avec le créancier par le téléphone pour l'information courante de profit.7.
L'argent consacré au service de ces dettes, héritées d'une génération antérieure de dirigeants, serait mieux utilisée dans les programmes de réduction de la pauvreté, de même que dans ceux relatifs à l'éducation, à la santé, à l'assainissement et aux infrastructures.
Ces dettes faisaient partie de la dette extérieure que l'Iraq avait accumulée au moment de son invasion illicite du Koweït et devaient donc être exclues du champ de compétence de la Commission par la résolution 687(1991) du Conseil de sécurité.
Donc, si toutes ces dettes devaient être remboursées sur-le-champ non seulement il n'y aurait plus un dollar en circulation, mais il y aurait une gigantesque somme d'argent dûe qui serait complètement impossible à rembourser, puisqu'elle n'existe pas.
Le service de ces dettes absorbe pratiquement 25% des revenus d'exportation de ces pays, à un moment où plus de 20 millions d'Africains sont menacés par la famine, le sida, la malaria et autres maladies endémiques.
Ces dettes résultent des prêts dit de« sauvetage» de 2010 et 2012 qui ont servi à en réalité à sauver une vingtaine de banques grecques et étrangères(en particulier françaises, allemandes et hollandaises) qui avaient spéculé sur la dette grecque.