Exemples d'utilisation de Que le code de conduite de la haye en Français et leurs traductions en Espagnol
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Nous souhaitons donc que le Code de conduite de La Haye puisse accéder à l'universalisation.
En tant que pays contraint de réagir à la menace des missiles apparue dans notre région, nous pensonsque le Code de conduite de La Haye ne répond pas à nos préoccupations en matière de sécurité.
Nous sommes convaincus que le Code de conduite de La Haye est l'une des initiativesles plus efficaces pour lutter contre la prolifération des missiles balistiques.
En tant que mesure significative de confiance, destinée à empêcher la prolifération des missiles balistiques, nous espéronsque le Code de conduite de La Haye bénéficiera d'une adhésion universelle dans un proche avenir.
Convaincue que le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques contribuera à renforcer la transparence et la confiance entre les États.
Dans sa résolution 59/91 du 3 décembre 2004, l'Assemblée générale s'est félicitéeque le Code de conduite de La Haye ait été adopté et a invité tous les États qui ne l'avaient pas encore fait à y adhérer.
L'Union européenne rappelle que le Code de conduite de La Haye établit, d'une part, des principes fondamentaux qui manquaient jusque-là et, de l'autre, un cadre multilatéral pour la coopération dans un domaine où il n'y en avait pas.
Aujourd'hui, nous devons aussi tirer le meilleur parti de l'utilisation des mesures de transparence etde confiance existantes, telles que le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques.
Pour toutes ces raisons, nous pensons que le Code de conduite de La Haye est un instrument qui abordede manière sélective la question de la prolifération des missiles.
À cet égard, l'Union européenne estimeque le code de conduite de La Haye constitue un instrument important dans la lutte contre la prolifération des missiles balistiques et elle œuvre pour qu'il soit universellement adopté.
Tout en reconnaissant que les mécanismes actuels- plus précisément le Code de conduite de La Haye- ont contribué à la paix et la sécurité internationales, ma délégation penseque le Code de conduite de La Haye n'est qu'une première mesure pratique dans ce sens.
L'Australie souhaite vivement que le Code de conduite de La Haye soit fermement établi en tantque mesure de confiance universelle et viable pour prévenir la prolifération des missiles balistiques.
Entre autres pointsabordés, il a été question de l'élaboration de codes de conduite, d'un moratoire multilatéral sur les expérimentations de systèmes antisatellites, d'un code de la route, et du renforcement de la mise en œuvre d'accords existants tels que le Code de conduite de La Haye.
À cet égard, nous remarquons que le Code de conduite de La Haye est un précieux mécanisme de transparence et de renforcement de la confiance visant justement ces objectifs.
À long terme, le Canada espère que le Code de conduite de La Haye suscitera un élan international et il appuie la création d'un instrument international global juridiquement contraignant pour la gestion des missiles.
Nous nous sommes abstenus dans le vote sur le projet de résolution, car nous pensonsque le Code de conduite de La Haye ne parvient pas à réaliser un équilibre entre non-prolifération et désarmement et continue d'accorder une attention disproportionnée à la non-prolifération seule.
Se félicitant que le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques ait été adopté le 25 novembre 2002, et convaincue qu'il contribuera à renforcerla transparence et la confiance entre les États.
L'Union européenne continue de considérer que le Code de conduite de la Haye constitue, avec le Missiles Technology Control Regime,le meilleur outil existant pour traiter la question de la prolifération des missiles.
Se félicite que le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques ait été adopté le 25 novembre 2002 à La Haye1 en tant que mesure concrète contre la prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs;
L'Union européenne considère toujours que le Code de conduite de La Haye et le Régime de contrôle de la technologie des missiles(RCTM) restent les meilleurs instruments existants pour traiter la question de la prolifération des missiles.
L'Union européenne considère toujours que le Code de conduite de La Haye et le Régime de contrôle de la technologie des missiles(RCTM) restent les meilleurs instruments existants pour traiter la question de la prolifération des missiles.
L'Union européenne considère que le Code de conduite de La Haye a déjà prouvé son utilité dès sa première année d'existence: actuellement il y a des pays qui l'ont adopté dans tous les continents, ce qui aide à répandre la confiance et à renforcer la sécurité internationale.
L'Union européenne continue de considérer que le Code de conduite de La Haye constitue, avec le Régime de contrôle de la technologique des missiles,le meilleur outil existant pour traiter la question de la prolifération des missiles et est pleinement engagée en faveur de l'adhésion et de la mise en œuvre par tous du Code de conduite. .
Nous apprécions le fait que de plus en plus de pays aient signé le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques.
Nous ne devons pas sous-estimer la contribution importanteque les arrangements existants, tel le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques, ont apportée à l'égard de la prolifération des missiles.
Ceux qui estiment que le Régime de contrôle de la technologie des missiles(MTCR), l'Arrangement de Wassenaar et le Code de conduite de La Haye constituent des éléments de départ prometteurs, et ceux qui considèrent que ces instruments, et d'autres du même genre, sont fondamentalement viciés en raison de leur exhaustivité inhérent ou de leur inclusivité politique;
L'Australie appuie fermement l'Initiative de sécurité en matière de prolifération etpréconise depuis longtemps des mesures telles que les protocoles additionnels de l'Agence internationale de l'énergie atomique, le traité d'interdiction des matières fissiles et le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques en tantque mesures concrètes contre la prolifération des armes de destruction massive et leurs vecteurs.
Bien que nous reconnaissions que des efforts ont été déployés pour répondre aux préoccupations des États, le caractère non permanent de l'instance où le Code de conduite de La Haye a été négocié et l'absence de débats dignes de ce nom ont fait que le produit final n'a pas recueilli l'appui et l'adhésion de plusieurs États détenteurs de missiles.